Les personnages de cette artiste de grand talent sont fragiles, décalés, un peu hors du monde. Ils illustrent à merveille cette jolie phrase de Michel Audiard : « Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière ».
Une lumière qu ’Hélène Bondurand-Lallemand sait capter avec une grande délicatesse et qu’elle nous retransmet
au travers d’une galerie de portraits infiniment attachants.